Erwann Rougé, Le lieu de la lueur
Migrations L’infime, l’à peine perçu prend chez Erwann Rougé une dimension particulière. Tout s’articule dans le supposé : ici, il résiste et devient réel. Chaque poème se fait une toupie ou un dispositif où l’auteur lance son regard pour le faire pivoter comme on démarre un petit moteur de l’émotion mais aussi de l’extra-lucidité qui marche au ralenti grâce à un subtil système de contrepoids – même si rien ne s’arrête avec l’horizon dans une position quelconque. Post Views: 20