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Tag: Edith Wharton

Edith Wharton, Les New-Yorkaises

Edith Wharton, Les New-Yorkaises

Entre puritanisme et cynisme Après Le temps de l’innocence (1921) où Edith Wharton s’en prenait déjà à la haute société new-yorkaise au début du 19ème siècle, Les New-Yorkaises (1927) propose de nouveau, sur fond du mariage qui s’écroule, une saga familiale, sentimentale et sociale des plus décapantes. Post Views: 61

Edith Wharton, Le temps de l’innocence

Edith Wharton, Le temps de l’innocence

« M’ama, — non m’ama »  « Quand Newland Archer ouvrit la porte de la loge réservée à son cercle, le rideau venait de se lever sur la scène du jardin. (…) s’il avait pu fixer avec le régisseur la minute précise de son arrivée, il n’aurait pu choisir un moment plus propice que celui où la prima donna chantait : « Il m’aime, — il ne m’aime pas, — il m’aime, » en laissant tomber avec les pétales d’une marguerite…

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Edith Wharton, Villas et jardins d’Italie

Edith Wharton, Villas et jardins d’Italie

Un ouvrage qui risque de décevoir les amateurs des romans de Wharton Edith Wharton fait partie des classiques du roman américain, et l’on sait que comme son ami Henry James, elle avait aussi une réputation bien établie d’esthète. On s’attendait donc à trouver une lecture délectable dans ses Villas et jardins d’Italie, et l’on regrette de devoir exprimer plus de réserves que de plaisir au sujet de cet ouvrage. De fait, les lecteurs habitués à la finesse qui caractérise la…

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