David Lelait-Helo, C’était en mai, un samedi
La vie ne tient parfois qu’à un coup de fil Sophie vient juste de divorcer, et s’est réfugiée dans sa maison de Sologne pour y faire le point et s’y poser un peu. Elle a décidé de vivre. Iolanda vient de tirer les rideaux de sa chambre parisienne ; engloutie par la solitude, elle a fait le choix de mourir. Mais avant faire ses adieux à la scène, celle qui n’est autre que la grande Dalida, décroche son téléphone et compose un numéro…