Yannick Torlini, Ce n’est rien
Secouer ce qui reste de vie Et si, tout compte fait, il n’existait pas un si grand écart que celui – imaginable – entre le « Ce n’est rien » de Yannick Torlini et celui de Julien Clerc ? Certes, le second paraît plus léger mais la différence tient à « l’acte » de chaque discours. D’un côté une poésie ample qui entre en certains méandres, de l’autre la nécessaire synthèse qu’impose le format de la chanson. Dans les deux…