Julia Holter, Aviary
Apocalypse du monde Constitué de plages très différentes en longueur mais bourrées de sons qui ont (volontairement) du mal à décoller, l’album n’est pas dénué de tout marcottage marketing. Les effets sont parfois attendus comme les descentes et montées entendues cent fois dans ce type d’objet sonore entre grandes parties électro-pop. Il ne semble pas forcément chercher a priori la nouveauté voire exploite des filons avant que la créatrice s’empare de matières sonores afin de créer une cathédrale de sons…