Giuseppe Cardoni, Framenti Metropolitani

Fissures de lumière

Giu­seppe Car­doni décrit le réel dans sa diver­sité. Il trans­forme ses prises en “mac­china sti­lo­gra­fica”.
Il pho­to­gra­phie aussi bien les boxeurs à l’entraînement que des por­traits urbains pour trans­for­mer tout repor­tage en un chant poétique.

Le créa­teur vit en Ombrie. Ingé­nieur, il s’est orienté vers le repor­tage en noir et blanc et a publié plu­sieurs livres dont “STTL La terra ti sia lieve”, “Mise­rere”, “Boxing Notes”, “I colori del Jazz”.
Son tra­vail est exposé en Ita­lie et à l’étranger.

Dans ses pho­to­gra­phies, des fis­sures de lumière méta­mor­phosent les prises là où l’artiste cherche à sug­gé­rer des atmo­sphères loin du simple réa­lisme pour sai­sir le monde à tra­vers divers angles.
La beauté des corps se révèle par l’attention que le pho­to­graphe leur porte. Ombres et lumières créent des émo­tions de divers moments d’existence.

Ces ins­tants de vérité sont le fruit d’un regard atten­tif capable de sai­sir des ambiances sin­gu­lières là où par­fois se tra­duisent la dés­illu­sion et la solitude.

jean-paul gavard-perret

Giu­seppe Car­doni, Fra­menti Metro­po­li­tani, 2021. 

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