Tag Archives: Stéphane Braunschweig

Jours de joie (Arne Lygre / Stéphane Braunschweig)

  Gestes graves et ten­dan­ciel­le­ment enjoués  Le décor est mini­mal ; il accueille les mou­ve­ments insen­sibles de la pièce. Sur un tapis de feuilles d’automne, en pleine lumière, on égrène des his­toires de famille en pro­fé­rant des répliques plus ou moins … Conti­nue rea­ding

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Comme tu me veux (Luigi Pirandello / Stéphane Braunschweig)

Comme elle se meut Quelques phrases pro­je­tées sur le rideau rap­pellent le contexte his­to­rique dans lequel s’inscrit la pièce : les consé­quences des pillages de l’Italie du Nord à la fin de la pre­mière guerre mon­diale. Une femme est recon­nue à Ber­lin comme une … Conti­nue rea­ding

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Iphigénie (Jean Racine / Stéphane Braunschweig)

Tensions inté­rieures sur l’échiquier du sort  De part et d’autre de la scène, der­rière chaque par­tie du public, on voit la mer, large, haute, omni­pré­sente, immo­bile et pour­tant par­cou­rue tan­tôt d’insignes mou­ve­ments. Deux hommes sou­mis à une lumière crue, au milieu des … Conti­nue rea­ding

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Nous pour un moment ( Arne Lygre / Stéphane Braunschweig)

Super­fi­cielles pro­fon­deurs Des chaises blanches sont ins­tal­lées devant deux grands pan­neaux blancs, fixes. Sans doute une salle d’attente. Deux femmes entrent et s’avancent dans l’eau dont le pla­teau est inondé. Elles engagent un dia­logue direct, allu­sif. L’écriture de Lygre s’affirme … Conti­nue rea­ding

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L’École des femmes (Molière / Stéphane Braunschweig)

Molière à l’école du désir  Le rideau se lève sur une salle de fit­ness où deux hommes devisent tout en péda­lant sur leur vélo sta­tion­naire. Agnès, par l’ingénieuse scé­no­gra­phie deve­nue Lolita, appa­raît der­rière une vitrine, sur son lit. Elle n’y fait rien … Conti­nue rea­ding

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