Tag Archives: Jean-Paul Gavard-Perret

Cocagne — les mots et l’image

Une limite de l’écriture se touche lorsque les mots croient immo­bi­li­ser l’image en un sens inson­dable et s’estiment iden­tiques à des renais­sances parce qu’ils deviennent sou­dain le temps de la faire exis­ter en et à propos.

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Lacan tu veux — col chic

Que sait-on, sans mot dire, du silence ? Le lan­gage n’est que son érec­tion rela­tive en dépit de sa mâle assu­rance. Le silence est fémi­nin car absolu. Pré­sent en toutes choses, il est son dé-lié. Ainsi peut-il se dire absolu.

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Pays sage

Igno­rant, par­fois à son corps défendu, les conve­nances, le dis­cours reste le porte-flambeau de l’inconscient, de ses cils de lune et ses fines pelures d’oignon qui ne connaissent pas de cendres. Sur­git alors leur ob-scène où le mot dit dépasse du … Conti­nue rea­ding

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L’art mots nie

Si on lui deman­dait dans son som­meil ou sur le point de s’endormir s’il était intel­li­gent, il répon­dait “un peu” puis s’engouffrait dans son som­meil et deve­nait en ses rêves vrai­ment per­ti­nent. Du moins suf­fi­sam­ment pour écrire matin venu — … Conti­nue rea­ding

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Ethernuité

Si le lan­gage dort, il ne faut sur­tout pas le réveiller car il pour­rait men­tir. S’il se lève, pré­pa­rons ses bagages et il s’en ira.

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