Tag Archives: Jean-Paul Gavar-Perret
De lettres
(Lacan, Sollers) Au possible imparfait du plus qu’indicatif présent nous pensons franchir le temps comme des escargots. Seules leurs cornes nous rassemblent. C’est déprimant ou dégoûtant. Que chacun apprenne à vivre dans sa maison.
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Mes gardes
Ecrire Ecrire est un rite de perpétuité, une sonnerie aux morts pour faire venir tout de suite la suite à coup de pieds au cul. C’est cesser de croire uniquement au mécanique, sans revendiquer plus de responsabilité. Juste le mariage du … Continue reading
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Cas cendres — Novarina
Pour Novarina Dans l’alphabet en vermicelle, la poésie braconne. Elle attrape chez ses ancêtres ceux qui, de leurs vieux neurones, charpentaient au Chablis la douteuse conscience à l’usage d’intranquillité. Et le nouveau germain poète devint émigré de lui-même.
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Exodisme
Latérite verte et rouge, arbres foudroyés. Sur la carte déployée le pays des concessions. Draisine sur la voie ferrée. Ton savoir, tu me l’as enseigné. avant que le gris noir ne s’est étende avec le bruit sourd de l’avion. Gabao … Continue reading