Davide Interrante, Vagues de silence

Les mer­veilleux nuages

Quoique ayant tou­jours été attiré par les œuvres des peintres sur­réa­listes, méta­phy­siques mais aussi par celle d’Ansel Adams, David Inter­rante donne au pay­sage sa propre inter­pré­ta­tion.
Jamais les che­mins de terre de la vie n’y seront plus proches du ciel. Existe là un appel à la trans­cen­dance et au mer­veilleux que n’aurait pas renié Baudelaire.

La force du noir et blanc sou­ligne l’intensité des lignes et des formes. Se crée une jonc­tion entre le ciel et la terre, le bas et le haut.
Les énormes nuages en font le lien en épou­sant et che­vau­chant de leurs ron­deurs fugaces celles des col­lines du Val d’Orca toscan.

Perdure dans ce qui ne cesse de bou­ger dans le ciel, et para­doxa­le­ment, une idée d’éternité.
Le lan­gage visuel du créa­teur est là pour l’instiller entre sen­sua­lité et mystique.

lire notre entre­tien avec l’artiste

jean-paul gavard-perret

Davide Inter­rante, Vagues de silence, 2023.

https://www.instagram.com/davide_interrante/

1 Comment

Filed under Arts croisés / L'Oeil du litteraire.com, Chapeau bas, Echos d'Italie / Echi dell'Italia

One Response to Davide Interrante, Vagues de silence

  1. Villeneuve

    La terre et le ciel , le noir et le blanc , le bas et le haut . Tout est dit en termes concis .

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