Yayoi Kusama, The Place for My Soul & Infinity mirror Rom, Fireflies on the water
Miroirs et selfies de Yayoi Kusama : l’autre et le même Jadis, le miroir était interdit aux « vilains » : seuls les nobles puis les bourgeois eurent droit à leur reflet peu à peu fixé dans l’art du portrait. Celui-ci s’est démocratisé par la photographie puis l’auto-photographie grâce à l’art (ou la technique) du selfie. Ce transfert médiumnique et son déclassement social sont objet de mépris : on veut n’en retenir qu’un mauvais goût. Mais celui-ci peut devenir subversif…