Michel Bourçon, Sorbier de l’oiseleur – Chambre 21
Au bord de la falaise Ces poèmes des confins fourmillent de trouvailles poétiques. Dans des couloirs, une lune de métal reflète sa face déserte ou celle du monde. Le poète est forcé d’errer dans le regret d’un soleil. De sa voix, il croit dire mais ne se fait pas entendre. Post Views: 5