Liberté et dépendance, ange et démon : entretien avec l’artiste Marie Mons ( The Blue Escape, 2)
Par un travail d’exigence des plus minutieux, Marie Mons fait jaillir le féminin selon un cérémonial très particulier et androgyne. La beauté en est le centre mais de manière décalée : à savoir, sans répondre aux stéréotypes dits « de charme ». Face à ce qui enferme dans un genre qu’il faut parfois supporter tant bien que mal comme un fardeau, l’artiste propose un univers interlope – même si cet adjectif a quelque chose de réducteur. A travers des figures rémanentes…