Félix Fénéon, Les ventres et autres contes
Fénéon le voltigeur Critique pénétrant et personnage énigmatique jusque dans ses allures de Diable famélique (visage long et maigre avec barbiche), Fénéon que Jarry avait surnommé « Celui qui silence » possédait le goût des travaux parfois secrets et indirects, de même qu’une volonté farouche d’effacement. Son oeuvre est restée longtemps dispersée en milliers d’articles signés ou non. Mais la postérité a entériné la plupart de ses choix : il a su imposer Seurat et les néo-impressionnistes et a édité Rimbaud…