Yves Michaud, « L’art, c’est bien fini ». Essai sur l’hyper-esthétique et les atmosphères
Toucher en des lieux inconnus de l’être Beaucoup de créateurs d’aujourd’hui refusent d’affronter la question esthétique, barrant d’un trait majeur le beau qui ne voudrait plus rien dire. Leur art est devenu un gadget, un geste, une vaporisation. Néanmoins, l’essai de Michaud expédie un peu vite les nouvelles formes de l’art. Par exemple, les installations de Boltanski récemment disparu et qui fit de ses monstrations des laboratoires de nos émotions les plus profondes. Post Views: 48