Jean-Robert Jouanny, Père-patrie
Peut-on faire le deuil d’un pays qu’on a aimé ? C’est au cimetière russe entre Sainte-Geneviève-des Bois et Fleury-Mérogis que Jean-Robert reprend contact avec la Russie depuis la catastrophe. Il s’est senti trahi, avili. Pourtant on l’avait mis en garde, lui recommandant de ne pas s’attacher, qu’il allait souffrir. Et ce moment est venu. Comment peut-on assumer avoir aimé la bête immonde après le 24 février ? Et l’auteur raconte son intérêt, sa prise de conscience pour ce pays, son…