Jean-Pierre Bobillot, Promenade interdite
Un tissu mouvant n’attend pas de réponse Ce livre ressemble à une moissonneuse -batteuse plus que lieuse- littéraire : s’y débat entre autres, grâce à un narrateur anonyme, un inspecteur de roman noir comme son nom Schwarz, plus gore que le chien Igor. En sept chapitres qui retracent sept journées d’errance et de leurres, il apprend à recouvrer – dans le bordel de la mémoire, des rêves et fantasmes – des figures cachées et des poupées brisées dans les épopées…