Eve Beaurepaire et les mystères de la vie : entretien avec l’artiste (« Wasted »)
Pas besoin de pitié à l’art : il s’agit de tout montrer, d’oublier et le bien et le mal afin que tout joue à l’extrême du soupir. Qu’importe le sujet. Il s’agit toujours de revenir à l’auge, la bauge et la chimère. Eve Beaurepaire (http://www.lelitteraire.com/?p=25038) sait que l’art peut mettre son nez partout et au besoin il affronte les flammes afin que l’image sache tout de l’affolement dont elle sort. Ce n’est peut-être pas beaucoup mais ça suffit largement. On…