Jacques Moulins, Corbeline
La blancheur du corbeau A partir de la corbeline, « herbe qui pousse au pieds des gibets quand le tripe s’y répand », écrit l’auteur, celui-ci lance le cri lacérant des corbeaux. Leur présence est élargie aux corvidés, geais, choucas dans une perspective particulière. Les mots décharnés, les vers parfois déchiquetés, les phrases arrachées au silence et caverneuses ouvrent un corpus en mémoire au fameux poème narratif ‘The Raven » d’Edgar Allan Poe qui contribua à sa notoriété. Post Views: 43