Lylian adapte le magnifique roman de Jim Fergus paru aux USA en 1998 et en 2000 aux Éditions du cherche midi. Ce récit se base sur une rencontre authentique entre le président Ulysse S. Grant et Little Wolf, le chef des Cheyennes du Nord. En France, ce récit a rencontré le succès avec plus de 400 000 exemplaires vendus. Il est resté pendant 57 semaines dans la liste des meilleures ventes. Continue reading
Lylian & Anaïs Bernabé, Mille femmes blanches — t.01 : “Un train pour la gloire”
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Dix parus
I
Beaucoup prétendent atterrir dans l’irremplaçable. Leurs yeux veulent modifier les nôtres, leur mental idem. Leur souffrance possède des limites joyeuses. Ils inscrivent leur nom en lavant nos silhouettes. Et en s’en allant ils essorent ce qui restent. Leur mort a fait d’eux une randonnée, mais désormais le vent est notre colère. Ne pouvant plus marcher, ils sont notre guide. Allons libérer le corps de la marée. Allons boire le kir du chaos. L’Histoire est toujours incomplète. Rien n’a été écrit. Continue reading
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Valère-Marie Marchand, Spleen au lavomatic
Spleen du Paris d’un dormeur du lavomatic
Valère-Marie Marchand prend de la bouteille. Après divers genres (de la biographie à la fiction courte), elle se lance dans un roman. Pas n’importe lequel. De son sombre héros – mais sans jamais pratiquer des exercices de frivolités, l’auteur les transforme entre merveille et réalité de manière métaphorique. Continue reading
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Italo Calvino, Romans
Dans ces romans et contes, l’écrivain italien Italo Calvino multiplie ses objectifs dans des textes autant ironiques que savants. Entre légèreté et sérieux, il évoque le poids du temps, de la longueur qui tend à étendre les maux. Les qualités de vitesse, d’adresse et de vivacité intellectuelle permettent de profiter au mieux de l’instant, de s’éloigner de la pesanteur de vivre. Continue reading
Filed under Chapeau bas, Echos d'Italie / Echi dell'Italia, Romans
François de Cornière, Les façons d’être
Avec François de Cornière, il n’existerait plus d’atelier qui enfermerait le poète avec son chevalet et sa palette. Certes, il y a pour lui des sortes de cadres et – forcément — de cornières…. Le tout pour penser l’existence par l’évocations des petits riens – ce que les italiens nomment les « nonnulle » — du quotidien. Continue reading
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