La peinture n’est pas de l’ordre de la représentation. Elle est donc forcément inadaptée à la civilisation des images. Restant de l’ordre de l’éclipse, d’une transparence offusquée, de la fracture des apparences, son poids et sa mesure sont juste une question de peau.
S’y dévoile quelque chose qui ne se visse pas au réel. Elle n’est donc présente qu’à elle-même en tatouant le monde d’une irradiante féminité pour recomposer autrement les données de ce qu’elle a effacé.
jean-paul gavard-perret
Peinture de Roger Laurance
Puisque , selon JPGP , la peinture est inadaptée à la civilisation des images je préfère celle de Marfaing .