Dans sa trajectoire en diagonale et à quatre mains, ce texte sollicite le rêve en son adresse. S’y découvrent des vivants qui franchissent les paysages et les songes.
Un samouraï, chauffeur de train, fait avancer une locomotive qui mord et dialogue.
Reste La Femme pour sauver le monde. Les sentiments parfois s’ouvrent comme des boîtes de petits pois. Histoire de rêver encore.
Puisque les hommes ne sont que leurs songes. La voix semble libre pour partir très loin. Mais où ?
Tout semble aller à vau-l’eau, mais qu’importe. En divers dévoiements, les poupées russes — mais ce ne sont pas les seules — vont bon train.
Cependant, la question reste ouverte : qui est-on ?
jean-paul gavard-perret
Jean Azarel & Hélène Dassavray, La voie est libre, Editions Douro, juin 2022, 170 p. — 15,00 €.