Hans Schnorf crée une peinture anaphorique qui conquiert davantage de réalité là où paradoxalement celle-ci semble disparaître. Et ce, pour une raison majeure: l’intensification de la réalité passe par une présence dégagée de toute facticité . Ne restent que des données irréductibles. Elles prouvent que la peinture n’a pas besoin d’entrer dans l’existence : elle y est déjà et de plain-pied.
Dès lors, ce qui paraît moindre reste néanmoins habité.
La peinture règne en despote sur un immense espace-temps. Le monde, certes, semble voué au célibat mais il n’est plus sur une carte.
La peinture en devient le territoire. Elle confirme à la fois son existence comme celle qu’elle re-présente.
jean-paul gavard-perret
Hans Schnorf, Transition, Galerie Turetsky, Genève, 8 mars au 28 avril 2018.
Merci pour ce chapitre.
Er schreibt: Tobias von Pein für uns im Landtag”. Ich weiß nicht, was der junge Mann mit uns” meint, vermute aber: die SPD. Und gegen die Große Ko hat er gestimmt, weil die Partner dort beide das C für Christliche im Namen haben, was für von Pein nicht in die Zeit sprich: zu seinem persönlichen Glaubensbekenntnis passt. Vermutlich ist er zu den Muslimen übergetreten, glaubensmäßig, meine ich. Und genau solche Leute braucht das Land.