L’en faire scelle les autres

L’en faire scelle les autres

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( Comment réfléchir ?)

Hormis l’incitation à passer de savoureux moments en bonne compagnie, notre position reste ambivalente car peut se retrouver qui sommeille en nous ou qui se confronte à ses appétits. Un tel casus belli demeure l’inéluctable cycle naturel de toute vie.
Ouverture ou dénouement imposent deux voies opposées. Celle qui sauve son âme, celle qui par nostalgie rappelle au plaisir. Une certaine éducation inflige une morale mais elle n’est pas dépourvue de fantaisie ou d’imagination. Toutefois, elle contrecarre parfois des apparitions réjouissantes, fréquentes de légèreté voire d’insolentes palpations.

Sa ligne se nourrit d’autres contes ou variantes courantes en des points de convergences : il s’agit de moins divertir les sens que l’intelligence et l’esprit critique afin de rendre méconnaissable notre pente descendante jusqu’aux Cendrillon dont d’infimes détails émoustillent notre libido.
Elle fait couler de l’encre ou aussi ce qui accorde la primauté au sexe. Son aboutissement reste légitime pour fixer l’éphémère, un besoin vital et le caractère immatériel des affects. Une phénoménologie en émerge. Restons méritant de le souligner pour biffer non notre méconnaissance ou notre restrictive curiosité mais à l’inverse un mépris pour ce que l’on croit pur divertissement ou piètre littérature.

.jean-paul gavard-perret

Photo : Georges Pierre

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