Emanuele Scorcelletti, Elegia Fantastica

Ce qui demeure 

Lors des années Covid, Ema­nuele Scor­cel­letti s’est plongé dans un tra­vail de recherches par­ti­cu­lières créées pour un tra­vail de mémoire et de désir visuel dans le Marche (Les Marches), région d’Italie vers l’Adriatique, son ber­ceau natal. C’est alors  au cœur du fief de Mario Gia­co­melli, Giu­seppe Cavalli et de la bande dites de “Misa”, qu’Emanuele s’est atta­ché à un tra­vail de mémoire et d’envie.

Il s’est réap­pro­prié tech­ni­que­ment des choix gra­phiques par l’utilisation de contrastes afin de créer des images qui per­mettent aux mou­ve­ments de s’installer par l’équilibre des masses. Le tout en réflexions lumi­neuses.
Ses nar­ra­tions créent une sorte de poé­sie sur la terre de ses ancêtres où l’image montre ce que par­ler n’ose pas toujours.

jean-paul gavard-perret

Ema­nuele Scor­cel­letti, Ele­gia Fan­tas­tica, édi­tions Heme­ria, 2024, 200 p. — 25,00 €.

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Filed under Arts croisés / L'Oeil du litteraire.com, Chapeau bas, Echos d'Italie / Echi dell'Italia

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