Pour être pare-minou,Richard Meier accorde du coup de torchon sur le chou manière an d’Yves. Il ne mi-tonne pas sa sauce dans le lié mélodique : c’est plutôt son S.O.S. dans la machination du désaccordé et de la scansion énergumène.
Existent dans cette eau suaire peu de cadavres ex-qui, ou de fétiches car C assez pour ne pas noyer le poisson à lêche aux dés, histoire de chinoiser moins Thym-thym au Tee baie que tous les Yang chu chu modèle Arrondissement XIII ou éventuellement XVII pour masses ages dans un bordel au parfum de Bourre-jeois avec un J comme joie et ses filles en pire du milieu.
Nez en moins (vois plus tard), Meier par le chou Chinois met du beurre dans ses épines-art. Exit en conséquence tout chou-rave (party). Mais dans ce texte rare, l’objet même absent de tout poème fer-mente. L’auteur remet en jeu et en vie des bruissement lexicaux (et pas seulement) si bien que ce garnement crée jusqu’un souffle et aussi des émanations, explosions — selon certaines triades du crime ou l’ultime Rimbaud.
Soudain, le hâbleur impénitent devient le pétomane rêveur. Dégagé de certains miasmes, il entre en gare pour rejoindre Pomme Bleue (akka Li Jin du Grand Timonier). C’est d’une façon abstraire le rectum pour sanctifier le clitoris. Prière de ne pas couper de tiges afin de cabrer la langue sans chat louper.
jean-paul gavard-perret
Richard Meier, Chuinter — Chou’Chinois — de la table au bordel de la langue, Editions Voix, Elne, 11 mai 2024, non paginé — 15,00 €.