Ecrire est un rite de perpétuité, une sonnerie aux morts pour faire venir tout de suite la suite à coup de pieds au cul. C’est cesser de croire uniquement au mécanique, sans revendiquer plus de responsabilité. Juste le mariage du chien et de la carpe.
En ces histoire d’O, des descendants naissent par crues de saisons. Portant des poils, ils nageant sur un courant afin d’écrire à leur tour à part entière. Et comme Mac Mahon, étant, ils y restent.
jean-paul gavard-perret
photo de Akihiko Okamura
“Alors on danse “…