Du socle et de l’anonymat
Le socle ? Un tantinet colis mateur… Ah là là ! vite : ma piquouze d’adrénalain ! Honk ! honk ! alternatif à toc ! toc ! Ah ! la déveine, il est l’avant-bras tartare ! Au boa le hélas !, quel serre-boudin sulfité ! Tique et tic et arlequinte de toux en graines de coton rococo perlé de mitaine et fiente de croque-Rodin-le-panse-heurt : une goutte de sens. Et d’ouvrir, donc (l’on entendrait presque une humanauto-positronique, autrement dit un âne explorateur anté-péri-post/asimovien communiquant-claironnant cloisonnant-klaxonnant) quand, la corde au cou il serait temps, grand temps de couper le cordon (les rides aimées des joues au nez n’est-ce que de la fatmanie) en ôtant délicatement les deux bourgeons du casque audio des oreilles du têtard-niard (voilà, voilà, le dé-lyre-en-page est accordé à ses poumons-pas zoo pas — dé-lire, lé-dire, ben pas tant que ça), le capot de la première de couverture : ah non ! c’est un taureau. Tir à l’arc électrique, allez tendues les cordes en bocal.
Centaure aux yeux pers, rouge et poivre ouvrant de Io le trou d’un chas cousu d’un bon point de côté — housserait-ce un pied-mot ébasculé de motet — on s’y perd et l’aquarelle en mots de beauté le long gagne un coin-coin dans le tronc car couac le cou : “avertisseurs sonores (surtout à pomme de caoutchouc)” dit Larousse et la cible est dans le fion quand la fibule — ou le chibre ou le scion — est dans la fibre en caleçon (Reiser : Pardon ! pardon ! c’est un slip kangourou !). (Quel brouillon de culture !) Allergique est ce corps (ses globules blancs extenso-défensifs) qui, aujourd’hui, fait ce que sa tête a fait hier : non chier partout dans l’ozone en couches, en momification (chic soir de pluie d’Hara kiri — en live — avec perte des eaux à l’envers — n’enjambâton sa capsule-sarcophage en béton avec hublot ? —, et circuits imprimés intégrés à l’automne en lambeaux de feuilles floc ! avec casque de réalité intégrale et du vent pour déclarer que Jeanine et mézigue et al. id. l’aimait tant celui qui, fan de l’éolien techno-soleil, ne gît pas dans ce podium-socle à Montparnasse), en enveloppes et en spray, exprimer plutôt son stress au mieux et sa détresse en permanence, id est, augmentée de stratifications mnésiques qui sédimentent à vitesse acquise en tombant dans le tuyau des boyaux de la tête (arrêt podium à feu Cavanna et ses ex-canevas hors-socle au format XXL d’humour vert grinçant) et plutôt que cristalliser, s’enkyster — sous le clavier d’une ou d’un agglomérant de malrighiennnes impuretés sur le floc à force de touche-touche Azerty ou Bépo ainsi que l’oiseau de métal —, explosent, après le “psychitoire” (comme support pschitt-pschi— pas trop près —chittant le graffiti — pour l’interjection française, l’on dit aérosol — et structure de l’instance en denim (a pair of faded jeans) du “moi” ou whatever de whased-out aux enzymes en suçant de la réglisse — aussi pour le neurone, two, three —, terreau analytico-tatoué par chromatographie d’un “je” embout soldé déboussolé — cancer des os fatal —, aiguillage à tricotin fractal, clou murâle même-pas-mâle eh ! ben non ! d’une trans-suggestivité qui est et n’est pas autrui dans le pâté de tête de porc persillé) au niveau du livre et de la peau, de la pâte à dessein membranaire embranché d’un électro-narguilé ou chicha de la limite — un ménisque à la surface, un obélisque herculéen poireautant en emporte le muscle au-dessus —, du peauitoire (comme territoire… et pas suppositoire, quoi que), une atteinte de la membrane interface entre l’interne et l’externe, et voilà que c’est à peu près dit ! L’œdème de Quincke est-il au rendez-vous ?
Pour l’instant, attendons avant d’aller consulter (il n’y a pas à désigner de “méchants” corps étrangers plutôt que d’autres, que l’on connaît et qui peuvent se regrouper sous la grande catégorie d’un capitalisme et consumérisme prédateur et béat : la médiocratie et ses bergers à tonfa spoliant le statut et le socle de celles et de ceux qui ne veulent pas, ne peuvent pas bêler), peut-être pas, car les remèdes agostiniens sont absolument parfaits !
À commencer par le labyrinthe, en tant que « flip-flap » endo-technique encodé « dans la tête » exténuée et exténuante avec des acouphènes « vroum-vroumant » en LOA sur le mur du son d’un corps-cri de trans-humain zoomorphe à capot en delta, la question du “socle” (de la cimaise ou du podium, du “progrès” aussi, s’il est question de médiopoésie écriturée : qui dit Minos dit care, l’on prend soin du I et de son embonpoint de bas de casse à forme de tétine — un fameux signet —, en le castrant symboliquement de son “auréologland-culturocarré-aérolomamelon”) est en effet la question ; or nous avons des socles et des statues partout ! Dans l’une des formes appropriées (à transgresser, désosser, décortiquer, questionner, et cetera), merci à Nadine Agostini d’à nouveau mettre (à) bas (les masques).
Du socle et de l’anonymat
Le socle ? Un tantinet colis mateur… Ah là là ! vite : ma piquouze d’adrénalain ! Honk ! honk ! alternatif à toc ! toc ! Ah ! la déveine, il est l’avant-bras tartare ! Au boa le hélas !, quel serre-boudin sulfité ! Tique et tic et arlequinte de toux en graines de coton rococo perlé de mitaine et fiente de croque-Rodin-le-panse-heurt : une goutte de sens. Et d’ouvrir, donc (l’on entendrait presque une humanauto-positronique, autrement dit un âne explorateur anté-péri-post/asimovien communiquant-claironnant cloisonnant-klaxonnant) quand, la corde au cou il serait temps, grand temps de couper le cordon (les rides aimées des joues au nez n’est-ce que de la fatmanie) en ôtant délicatement les deux bourgeons du casque audio des oreilles du têtard-niard (voilà, voilà, le dé-lyre-en-page est accordé à ses poumons-pas zoo pas — dé-lire, lé-dire, ben pas tant que ça), le capot de la première de couverture : ah non ! c’est un taureau. Tir à l’arc électrique, allez tendues les cordes en bocal.
Centaure aux yeux pers, rouge et poivre ouvrant de Io le trou d’un chas cousu d’un bon point de côté — housserait-ce un pied-mot ébasculé de motet — on s’y perd et l’aquarelle en mots de beauté le long gagne un coin-coin dans le tronc car couac le cou : “avertisseurs sonores (surtout à pomme de caoutchouc)” dit Larousse et la cible est dans le fion quand la fibule — ou le chibre ou le scion — est dans la fibre en caleçon (Reiser : Pardon ! pardon ! c’est un slip kangourou !). (Quel brouillon de culture !) Allergique est ce corps (ses globules blancs extenso-défensifs) qui, aujourd’hui, fait ce que sa tête a fait hier : non chier partout dans l’ozone en couches, en momification (chic soir de pluie d’Hara kiri — en live — avec perte des eaux à l’envers — n’enjambâton sa capsule-sarcophage en béton avec hublot ? —, et circuits imprimés intégrés à l’automne en lambeaux de feuilles floc ! avec casque de réalité intégrale et du vent pour déclarer que Jeanine et mézigue et al. id. l’aimait tant celui qui, fan de l’éolien techno-soleil, ne gît pas dans ce podium-socle à Montparnasse), en enveloppes et en spray, exprimer plutôt son stress au mieux et sa détresse en permanence, id est, augmentée de stratifications mnésiques qui sédimentent à vitesse acquise en tombant dans le tuyau des boyaux de la tête (arrêt podium à feu Cavanna et ses ex-canevas hors-socle au format XXL d’humour vert grinçant) et plutôt que cristalliser, s’enkyster — sous le clavier d’une ou d’un agglomérant de malrighiennnes impuretés sur le floc à force de touche-touche Azerty ou Bépo ainsi que l’oiseau de métal —, explosent, après le “psychitoire” (comme support pschitt-pschi— pas trop près —chittant le graffiti — pour l’interjection française, l’on dit aérosol — et structure de l’instance en denim (a pair of faded jeans) du “moi” ou whatever de whased-out aux enzymes en suçant de la réglisse — aussi pour le neurone, two, three —, terreau analytico-tatoué par chromatographie d’un “je” embout soldé déboussolé — cancer des os fatal —, aiguillage à tricotin fractal, clou murâle même-pas-mâle eh ! ben non ! d’une trans-suggestivité qui est et n’est pas autrui dans le pâté de tête de porc persillé) au niveau du livre et de la peau, de la pâte à dessein membranaire embranché d’un électro-narguilé ou chicha de la limite — un ménisque à la surface, un obélisque herculéen poireautant en emporte le muscle au-dessus —, du peauitoire (comme territoire… et pas suppositoire, quoi que), une atteinte de la membrane interface entre l’interne et l’externe, et voilà que c’est à peu près dit ! L’œdème de Quincke est-il au rendez-vous ?
Pour l’instant, attendons avant d’aller consulter (il n’y a pas à désigner de “méchants” corps étrangers plutôt que d’autres, que l’on connaît et qui peuvent se regrouper sous la grande catégorie d’un capitalisme et consumérisme prédateur et béat : la médiocratie et ses bergers à tonfa spoliant le statut et le socle de celles et de ceux qui ne veulent pas, ne peuvent pas bêler), peut-être pas, car les remèdes agostiniens sont absolument parfaits !
À commencer par le labyrinthe, en tant que « flip-flap » endo-technique encodé « dans la tête » exténuée et exténuante avec des acouphènes « vroum-vroumant » en LOA sur le mur du son d’un corps-cri de trans-humain zoomorphe à capot en delta, la question du “socle” (de la cimaise ou du podium, du “progrès” aussi, s’il est question de médiopoésie écriturée : qui dit Minos dit care, l’on prend soin du I et de son embonpoint de bas de casse à forme de tétine — un fameux signet —, en le castrant symboliquement de son “auréologland-culturocarré-aérolomamelon”) est en effet la question ; or nous avons des socles et des statues partout ! Dans l’une des formes appropriées (à transgresser, désosser, décortiquer, questionner, et cetera), merci à Nadine Agostini d’à nouveau mettre (à) bas (les masques).