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One Response to agostiniH

  1. Philippe Pelouze

    Du socle et de l’anonymat
    Le socle ? Un tan­ti­net colis mateur… Ah là là ! vite : ma piquouze d’adrénalain ! Honk ! honk ! alter­na­tif à toc ! toc ! Ah ! la déveine, il est l’avant-bras tar­tare ! Au boa le hélas !, quel serre-boudin sul­fité ! Tique et tic et arle­quinte de toux en graines de coton rococo perlé de mitaine et fiente de croque-Rodin-le-panse-heurt : une goutte de sens. Et d’ouvrir, donc (l’on enten­drait presque une humanauto-positronique, autre­ment dit un âne explo­ra­teur anté-péri-post/asimovien communiquant-claironnant cloisonnant-klaxonnant) quand, la corde au cou il serait temps, grand temps de cou­per le cor­don (les rides aimées des joues au nez n’est-ce que de la fat­ma­nie) en ôtant déli­ca­te­ment les deux bour­geons du casque audio des oreilles du têtard-niard (voilà, voilà, le dé-lyre-en-page est accordé à ses poumons-pas zoo pas — dé-lire, lé-dire, ben pas tant que ça), le capot de la pre­mière de cou­ver­ture : ah non ! c’est un tau­reau. Tir à l’arc élec­trique, allez ten­dues les cordes en bocal.

    Cen­taure aux yeux pers, rouge et poivre ouvrant de Io le trou d’un chas cousu d’un bon point de côté — housserait-ce un pied-mot ébas­culé de motet — on s’y perd et l’aquarelle en mots de beauté le long gagne un coin-coin dans le tronc car couac le cou : “aver­tis­seurs sonores (sur­tout à pomme de caou­tchouc)” dit Larousse et la cible est dans le fion quand la fibule — ou le chibre ou le scion — est dans la fibre en cale­çon (Rei­ser : Par­don ! par­don ! c’est un slip kan­gou­rou !). (Quel brouillon de culture !) Aller­gique est ce corps (ses glo­bules blancs extenso-défensifs) qui, aujourd’hui, fait ce que sa tête a fait hier : non chier par­tout dans l’ozone en couches, en momi­fi­ca­tion (chic soir de pluie d’Hara kiri — en live — avec perte des eaux à l’envers — n’enjambâton sa capsule-sarcophage en béton avec hublot ? —, et cir­cuits impri­més inté­grés à l’automne en lam­beaux de feuilles floc ! avec casque de réa­lité inté­grale et du vent pour décla­rer que Jea­nine et mézigue et al. id. l’aimait tant celui qui, fan de l’éolien techno-soleil, ne gît pas dans ce podium-socle à Mont­par­nasse), en enve­loppes et en spray, expri­mer plu­tôt son stress au mieux et sa détresse en per­ma­nence, id est, aug­men­tée de stra­ti­fi­ca­tions mné­siques qui sédi­mentent à vitesse acquise en tom­bant dans le tuyau des boyaux de la tête (arrêt podium à feu Cavanna et ses ex-canevas hors-socle au for­mat XXL d’humour vert grin­çant) et plu­tôt que cris­tal­li­ser, s’enkyster — sous le cla­vier d’une ou d’un agglo­mé­rant de mal­ri­ghiennnes impu­re­tés sur le floc à force de touche-touche Azerty ou Bépo ainsi que l’oiseau de métal —, explosent, après le “psy­chi­toire” (comme sup­port pschitt-pschi— pas trop près —chit­tant le graf­fiti — pour l’interjection fran­çaise, l’on dit aéro­sol — et struc­ture de l’instance en denim (a pair of faded jeans) du “moi” ou wha­te­ver de whased-out aux enzymes en suçant de la réglisse — aussi pour le neurone, two, three —, ter­reau analytico-tatoué par chro­ma­to­gra­phie d’un “je” embout soldé débous­solé — can­cer des os fatal —, aiguillage à tri­co­tin frac­tal, clou murâle même-pas-mâle eh ! ben non ! d’une trans-suggestivité qui est et n’est pas autrui dans le pâté de tête de porc per­sillé) au niveau du livre et de la peau, de la pâte à des­sein mem­bra­naire embran­ché d’un électro-narguilé ou chi­cha de la limite — un ménisque à la sur­face, un obé­lisque her­cu­léen poi­reau­tant en emporte le muscle au-dessus —, du peaui­toire (comme ter­ri­toire… et pas sup­po­si­toire, quoi que), une atteinte de la mem­brane inter­face entre l’interne et l’externe, et voilà que c’est à peu près dit ! L’œdème de Quincke est-il au rendez-vous ?
    Pour l’instant, atten­dons avant d’aller consul­ter (il n’y a pas à dési­gner de “méchants” corps étran­gers plu­tôt que d’autres, que l’on connaît et qui peuvent se regrou­per sous la grande caté­go­rie d’un capi­ta­lisme et consu­mé­risme pré­da­teur et béat : la médio­cra­tie et ses ber­gers à tonfa spo­liant le sta­tut et le socle de celles et de ceux qui ne veulent pas, ne peuvent pas bêler), peut-être pas, car les remèdes agos­ti­niens sont abso­lu­ment parfaits !

    À com­men­cer par le laby­rinthe, en tant que « flip-flap » endo-technique encodé « dans la tête » exté­nuée et exté­nuante avec des acou­phènes « vroum-vroumant » en LOA sur le mur du son d’un corps-cri de trans-humain zoo­morphe à capot en delta, la ques­tion du “socle” (de la cimaise ou du podium, du “pro­grès” aussi, s’il est ques­tion de médio­poé­sie écri­tu­rée : qui dit Minos dit care, l’on prend soin du I et de son embon­point de bas de casse à forme de tétine — un fameux signet —, en le cas­trant sym­bo­li­que­ment de son “auréologland-culturocarré-aérolomamelon”) est en effet la ques­tion ; or nous avons des socles et des sta­tues par­tout ! Dans l’une des formes appro­priées (à trans­gres­ser, désos­ser, décor­ti­quer, ques­tion­ner, et cetera), merci à Nadine Agos­tini d’à nou­veau mettre (à) bas (les masques).

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